Vous pouvez consulter les règles et règlements d'autres juridictions.
La Suisse peut être considérée comme une juridiction très favorable aux fintechs, malgré le fait qu'il n'existe qu'un nombre limité de règles ou de régimes fiscaux spécifiques aux fintechs. De nombreuses startups et projets fintech montrent que l'environnement juridique est considéré comme favorable.1
En vertu de la législation suisse, il n'existe actuellement aucune licence spécifique de fintech, car la réglementation suisse est neutre sur le plan technologique et fondée sur des principes. Cependant, une entreprise fintech peut être soumise à une licence ou à une conformité continue aux exigences et obligations de déclaration. Certaines formes d'activités financières sont soumises à la surveillance prudentielle de la FINMA en permanence et nécessitent une autorisation délivrée par la FINMA, tandis que d'autres doivent simplement adhérer à l'un des organismes d'autorégulation suisses mis en place pour faire respecter les exigences en matière de lutte contre le blanchiment d'argent (AML). Les réglementations de ces organismes d'autorégulation (OAR) sont reconnues par la FINMA comme la norme minimale de conformité AML.1
Le financement participatif en Suisse
Nous fournissons des services juridiques et organisationnels pour la création, la structuration et le développement de sociétés fintech
Participation en tant qu'avocat dans des fonds de capital-risque d'investissement, réalisation d'opérations de fusion-acquisition dans le domaine de l'informatique, support pour iGaming et actifs commerciaux